Il a expliqué que cela signifiait que les lois et les résolutions existantes devaient être respectées à la lettre. La politique balistique de Téhéran ne respecte pas la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU et le Président français, Emmanuel Macron en a parlé aux membres de ce Conseil.
Le ministère des Affaires étrangères a rappelé que la France souhaite que l’Iran contribue de manière positive dans les conflits régionaux et qu’elle y travaille avec ses partenaires européens et ses interlocuteurs en Iran pour que cela devienne réalité.
Jean-Yves Le Drian a mentionné l’ingérence de l’Iran dans les conflits au Moyen-Orient et son programme de missiles balistiques lors d’une conférence pendant son voyage la semaine dernière en Arabie Saoudite. « Le rôle de l’Iran et les différentes zones où il est présent nous préoccupent. Je pense notamment aux ingérences de l’Iran dans les crises régionales, à ses ambitions d’hégémonie et à son programme balistique. »
En réponse à ces commentaires, Téhéran a accusé la France de « partialité » et a déclaré que son approche des problèmes au Moyen-Orient ne faisait qu’empirer la situation. Le ministre français des Affaires étrangères a estimé : « La France maintient son dialogue avec tous les pays qui ont de l’influence dans les crises au Moyen-Orient. Cela vise à réduire la violence afin que tous les acteurs puissent contribuer à trouver des solutions politiques qui permettront le retour de la paix, de la sécurité et de la stabilité. »