Par Gholam-Hossin Vakilzadeh
Le quotidien suisse « Le Courrier » a consacré la deuxième page de son édition du 21 août à la question du « Mouvement pour la justice » pour les victimes du massacre des prisonniers politiques en 1988 en Iran. « Iran: cette terrible année 1988 », par la plume de Gholam-Hossin Vakilzadeh, relate les efforts des familles pour faire la lumière sur ce crime contre l’humanité resté impuni :
Durant l’été 1988, plus de 30 000 prisonniers politiques étaient exécutés dans les geôles de l’ayatollah Khomeiny. Un «mouvement pour la justice» fait campagne pour que les dirigeants de la dictature religieuse soient jugés.
Elles sont décidément les vedettes de la politique iranienne. Bientôt quadragénaires, elles paraissent toutes jeunes encore. Ni le pouvoir en place, ni l’opposition ne parviennent à prendre leurs distances de ces années 1980, «cruciales» pour la République islamique, comme le dit aujourd’hui le guide suprême de la théocratie, Ali Khamenei. Qu’avaient-elles d’aussi «crucial»? Pourquoi sont-elles revenues avec éclat dans l’actualité iranienne? Pourquoi la population s’y attache-t-elle autant?
Elles sont décidément les vedettes de la politique iranienne. Bientôt quadragénaires, elles paraissent toutes jeunes encore. Ni le pouvoir en place, ni l’opposition ne parviennent à prendre leurs distances de ces années 1980, «cruciales» pour la République islamique, comme le dit aujourd’hui le guide suprême de la théocratie, Ali Khamenei. Qu’avaient-elles d’aussi «crucial»? Pourquoi sont-elles revenues avec éclat dans l’actualité iranienne? Pourquoi la population s’y attache-t-elle autant?