AFP, Washington, 1er septembre – Les Etats-Unis ont démenti vendredi que l’ancien chef du gouvernement Felipe Gonzalez ait mené cette semaine une médiation entre Washington et Téhéran, comme l’a annoncé le quotidien espagnol El Pais.
« Je ne suis pas au courant de l’existence d’efforts de médiation », a déclaré à l’AFP le porte-parole du département d’Etat, Sean McCormack.
« Les Iraniens savent ce qu’ils ont à faire et nous attendons qu’ils le fassent », a-t-il ajouté, faisant allusion à la demande du Conseil de sécurité de suspension des activités controversées d’enrichissement de l’uranium de l’Iran.
Une autre porte-parole, Janelle Hironimus, a noté que l’information d’El Pais n’était « pas exacte ».
Le quotidien de centre-gauche a annoncé vendredi que M. Gonzalez avait « entrepris une médiation entre Téhéran et Washington » à la demande de l’Iran, et qu’il s’était entretenu à ce sujet en mai dernier avec la secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice.
Le journal a fait état, comme l’ensemble de la presse espagnole, de rencontres entre l’ancien leader socialiste et le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et le négociateur en chef sur le dossier nucléaire iranien, Ali Larijani.
Ce « travail de rapprochement des positions entre Téhéran et Washington » a été mené avec l’approbation du gouvernement socialiste de Jose Luis Rodriguez Zapatero, ajoutait El Pais, quotidien proche de l’exécutif espagnol.
La porte-parole et vice-présidente du gouvernement espagnol, Maria Teresa Fernandez de la Vega, a confirmé que M. Gonzalez avait « informé M. Zapatero de son voyage en Iran ».
Le gouvernement « le remercie pour ses efforts » et pense qu’il est bon de « maintenir ouvertes toutes les voies de dialogue possibles » avec l’Iran, a-t-elle ajouté.
AFP, Washington, 1er septembre – Les Etats-Unis ont démenti vendredi que l’ancien chef du gouvernement Felipe Gonzalez ait mené cette semaine une médiation entre Washington et Téhéran, comme l’a annoncé le quotidien espagnol El Pais.
« Je ne suis pas au courant de l’existence d’efforts de médiation », a déclaré à l’AFP le porte-parole du département d’Etat, Sean McCormack.
« Les Iraniens savent ce qu’ils ont à faire et nous attendons qu’ils le fassent », a-t-il ajouté, faisant allusion à la demande du Conseil de sécurité de suspension des activités controversées d’enrichissement de l’uranium de l’Iran.
Une autre porte-parole, Janelle Hironimus, a noté que l’information d’El Pais n’était « pas exacte ».
Le quotidien de centre-gauche a annoncé vendredi que M. Gonzalez avait « entrepris une médiation entre Téhéran et Washington » à la demande de l’Iran, et qu’il s’était entretenu à ce sujet en mai dernier avec la secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice.
Le journal a fait état, comme l’ensemble de la presse espagnole, de rencontres entre l’ancien leader socialiste et le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et le négociateur en chef sur le dossier nucléaire iranien, Ali Larijani.
Ce « travail de rapprochement des positions entre Téhéran et Washington » a été mené avec l’approbation du gouvernement socialiste de Jose Luis Rodriguez Zapatero, ajoutait El Pais, quotidien proche de l’exécutif espagnol.
La porte-parole et vice-présidente du gouvernement espagnol, Maria Teresa Fernandez de la Vega, a confirmé que M. Gonzalez avait « informé M. Zapatero de son voyage en Iran ».
Le gouvernement « le remercie pour ses efforts » et pense qu’il est bon de « maintenir ouvertes toutes les voies de dialogue possibles » avec l’Iran, a-t-elle ajouté.