AFP, Paris, 17 janvier – La France a fait état jeudi de « signes encourageants » dans l’affaire d’une Franco-Iranienne étudiante au Canada, Mehrnoushe Solouki, empêchée depuis près d’un an de quitter l’Iran.
« Nous continuons à suivre avec la plus grande attention la situation de Mme Solouki, qui a reçu ces derniers jours des signes encourageants », a déclaré à la presse la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Pascale Andréani, interrogée sur ce cas.
Mehrnoushe Solouki avait été arrêtée le 17 février 2007 après avoir commencé la réalisation d’un documentaire sur les suites de la guerre entre l’Iran et l’Irak (1988-1998), dans le cadre de ses études à l’Université du Québec.
Libérée le 19 mars 2007 après avoir versé une caution, elle ne peut depuis lors quitter l’Iran. Téhéran ne reconnaît pas la double nationalité et considère qu’elle est Iranienne.