La source a indiqué: « Au moment où la sentence est rendue par la Cour et que le contre-rendu est communiqué aux avocats des accusés et on ajoute, dans ce cas le rôle du chef de l’administration de la ville, le procureur du bureau, la police secrète et la police qui ont rassemblé des preuves, qui ont arrêté les suspects et qui ont transféré le cas aux autorités légales. »
La source a également déclaré que les deux accusés étaient déjà emprisonnés, attendant l’approbation finale de leur peine par la Cour.
Il faut noter qu’Amnesty International a critiqué plus tôt cette année la dictature des mollahs et a demandé à d’autres organisations internationales des droits de l’Homme et à d’autres gouvernements de condamner ces atrocités.
Dans cette déclaration, Amnesty International a écrit : « L’utilisation continue de l’Iran des punitions cruelles et inhumaines, dont la flagellation, les amputations et l’aveuglement pendant ces dernières années, a exposé le sens brutal de la justice des autorités. »