- Utilisation généralisée de la torture avec des coups, des coups de fouet, des décharges électriques, des positions douloureuses, des simulacres d’exécution, le « waterboarding » (simulacre de noyade), des violences sexuelles, l’administration par la force de substances chimiques et la privation de soins médicaux
- Plusieurs centaines de personnes ont été soumises à des procès d’une flagrante iniquité pour des accusations sans fondement relatives à la sécurité nationale
Des condamnations à mort ont été prononcées sur la base d’« aveux » entachés par l’utilisation de la torture
Amnesty International : La police, les services du renseignement, les forces de sécurité et des agents de l’administration pénitentiaire iraniens ont commis, avec la complicité de juges et de procureurs, un vaste ensemble de terribles violations des droits humains, recourant notamment à la détention arbitraire, à la disparition forcée, à la torture et à d’autres formes de mauvais traitements contre les personnes arrêtées en raison des manifestations qui ont eu lieu dans tout le pays en novembre 2019, déclare Amnesty International dans un nouveau rapport accablant rendu public le 2 septembre.