Lors du débat parlementaire sans vote, qui s’est tenu mercredi après-midi à l’Assemblée nationale et au Sénat à Paris, Jean-Marc Ayrault a tenté de convaincre les parlementaires que la «gravité de la menace associée à l’emploi de l’arme chimique oblige la France à agir».
Le premier ministre a aussi appelé au «rassemblement».
Il s’agit désormais de «sanctionner» l’emploi d’armes chimiques, d’éviter la récidive, ainsi que de pousser Bachar el-Assad à négocier.
Paris avance un autre argument pour justifier «l’action» et non la «résignation» : celui du «message» envoyé à d’autres régimes, comme l’Iran ou la Corée du Nord.
Avec AFP