Le président américain, qui poursuivait en Allemagne sa dernière tournée diplomatique en Europe, a rappelé que "toutes les options (étaient) sur la table". Mais, a-t-il ajouté, "le premier choix est de le régler par la diplomatie et c’est exactement ce que nous faisons. Le message adressé au gouvernement iranien est très clair."
George Bush et la chancelière fédérale Angela Merkel, qui l’accueillait à Meseberg, sont convenus que si l’Iran ne coopérait pas davantage, d’autres sanctions devraient être prises à son encontre par le Conseil de sécurité des Nations unies.