
Article de Majid Sadeghpour*, publié par « The Hill »
Le massacre de San Bernardino a ouvert un nouveau chapitre dans l’histoire de fusillades de masse aux États-Unis d’une manière inquiétante, mais différente. Comme les récentes attaques terroristes à Paris, le massacre brutal de civils innocents en Californie a mis en évidence le danger de l’extrémisme islamique, mais cette fois, ici aux États-Unis.
La grande majorité des musulmans sont modérés et paradoxalement, la majorité des victimes des groupes comme Daech sont des musulmans.
Au cours des dernières années, les musulmans modérés ont été les principales victimes des extrémistes se revendiquant d’islam, des groupes extrémistes constitués de marginaux radicalisés, mais aussi des régimes extrémistes comme le régime au pouvoir en Iran qui a été pendant les 35 dernières années l’épicentre mondial de l’islamisme radicale. Les extrémistes – que ce soit le Hezbollah, Daech, Al-Qaïda, Talibans, Hamas, ou les pasdaran du régime iranien – ne croient en aucune religion. Ils sont les ennemies de l’humanité et de la civilisation humaine.