
« Si l’Iran ne soutenait pas Assad pour des raisons confessionnelles, aujourd’hui nous n’en serions peut-être pas à discuter d’un problème comme la Syrie », a-t-il déclaré dans une allocution télévisée.
Le régime iranien est l’un des principaux soutiens de Bachar al-Assad, membre de la minorité alaouite, une branche du chiisme.
L’Iran et la Turquie s’opposent sur la question syrienne, Ankara appuyant les rebelles combattant le régime de Damas et appartenant à la coalition internationale qui procède à des frappes contre l’organisation Etat islamique.
Plusieurs milliers des pasdarans iraniens seraient arrivés en Syrie ces derniers mois pour prendre part aux combats aux côtés des forces gouvernementales, déjà appuyées par les milices du Hezbollah libanais et les milices chiites irakienne et afghane encadrées et formée par les officiers de la Force Qods.
Cette guerre qui a couté la vie à des milliers de civils dont le nombre est maintenant de plus de 300.000 morts.
Avec l’AFP