Le Sommet mondial Iran libre 2023, qui s’est tenu à Paris le 1er juillet 2023 et organisé par le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a réuni des milliers de participants de différents pays venus soutenir la lutte du peuple iranien pour une république démocratique et de condamner les violations des droits de l’homme par le régime iranien et son terrorisme.
Le sommet visait à unir la communauté internationale pour soutenir la lutte du peuple iranien pour une république démocratique et laïque. L’événement a vu des discours de plusieurs personnalités, dont l’ancien vice-président américain Mike Pence, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo, l’ancien premier ministre du Canada Stephen
Harper, l’ancienne présidente du Parlement fédéral allemand Rita Süssmuth, l’ancienne présidente de la Chambre des Communes au Royaume-Uni John Bercow, l’ancien conseiller américain à la sécurité nationale John Bolton et l’ancien conseiller des présidents américains, le général James Jones. Sont également intervenus lors de l’événement Bernard Kouchner et Michèle Alliot-Marie, et Hubert Védrine, anciens ministres des Affaires étrangères de la France ; le sénateur Giulio Terzi, ancien ministre des Affaires étrangères d’Italie ; John Baird, ancien ministre des Affaires étrangères du Canada; le Dr Liam Fox, ancien secrétaire à la Défense du Royaume-Uni ; Le général Wesley Clark, ancien commandant suprême des forces alliées de l’OTAN, et le sénateur Joseph Lieberman, Lance Gooden, membre du Congrès américain du Texas, et Raul Ruiz, membre du Congrès américain de Californie, ainsi que Liz Truss, ancienne Premier ministre du Royaume-Uni.
Le sommet a réuni plus de 1 000 dignitaires du monde entier, dont des parlementaires, des législateurs, des juristes et des militants des droits de l’homme, venus manifester leur soutien au peuple iranien. Maryam Radjavi, présidente élue du CNRI, a prononcé le discours d’ouverture du sommet, où elle a souligné la nécessité d’une république démocratique en Iran et a condamné les violations des droits de l’homme par le régime et son soutien au terrorisme. Radjavi a appelé la communauté internationale à soutenir la lutte du peuple iranien pour la liberté et la démocratie et à tenir le régime responsable de ses crimes contre l’humanité.
Le sommet a été témoin de discours et de discussions d’hommes politiques et de législateurs de plus de 50 pays.
L’événement a également été marqué par une exposition de photos mettant en lumière les violations des droits de l’homme par le régime, notamment le massacre de prisonniers politiques en 1988. Des expatriés iraniens ont manifesté lors du sommet pour réclamer un Iran libre. Le sommet s’est conclu par une déclaration de Maryam Radjavi, dans laquelle elle a de nouveau souligné la nécessité d’un changement de régime en Iran et de l’établissement d’une république démocratique.
Le sommet était un appel à la communauté internationale à s’unir pour soutenir la lutte du peuple iranien pour une république démocratique. L’événement a souligné l’importance de tenir le régime responsable de ses crimes contre l’humanité et a exhorté la communauté internationale à soutenir la quête de liberté et de démocratie du peuple iranien. Le sommet a souligné la nécessité d’une solidarité au sein de la communauté internationale pour atteindre l’objectif d’une république démocratique en Iran.