La police a fait usage de gaz lacrymogènes et de billes de « paintball » (projectiles remplis de colorants) pour disperser plusieurs milliers de manifestants rassemblés en petits groupes près de la place Azadi (Liberté) dans l’ouest de la capitale, selon ces témoignages.
Alors que ces rassemblements, interdits par les autorités, étaient silencieux au départ, certains manifestants ont commencé à crier des slogans anti-gouvernementaux, comme « mort au dictateur », selon les mêmes témoignages.
Ils ont également incendié quelques poubelles, selon les mêmes sources qui n’ont pas fait état de blessés ni d’arrestations.