Le ministre des Affaires étrangères, qui a été jeudi le premier haut responsable saoudien à s’exprimer publiquement sur l’accord de Vienne, ne l’a ni salué ni rejeté explicitement.
Lors d’un entretien avec le secrétaire d’Etat John Kerry, il a souligné la nécessité de procéder à des inspections pour vérifier que Téhéran en applique bien les clauses et de rétablir rapidement les sanctions internationales en cas de violation.